La seconde canicule de l'été 2019 s'est déroulée du 21 au 26 juillet, assez brève (6 jours) mais exceptionnellement intense.









Le 25 juillet a été tout particulièrement exceptionnel avec au moins 40°C sur le quart des stations météo métropolitaines, essentiellement au Nord de la France, jusque sur le littoral de la Manche. Certains records symboliques sont tombés (42,6°C à Paris-Montsouris versus 40,4°C en 1947), d'autres ont été écrasés (41,5°C à Lille versus 37,6°C en 2018). L'indicateur thermique national moyennant les températures de 30 relevés météo représentatifs a atteint 29,4°C, au plus haut ex-aequo avec celui du 5 août 2003. Une pollution à l'ozone a aggravé les conséquences sanitaires et sociales.




De nombreux records absolus ont été battus.


Le Parisien



Cette canicule s'est déroulée dans un contexte de sécheresse aggravé (>>). De nombreux incendies ont été à déplorer.