Depuis une semaine, la plupart des régions subissent de forts taux de pollution atmosphérique aux particules fines (notre article - le communiqué ministériel). Cet épisode est particulièrement médiatisé, sans doute à juste titre au vu des conséquences constatées sur la santé des personnes sensibles (notre article). 

Il semble nonbstant de plus en plus probable que l'air soit souvent davantage pollué dans nos intérieurs qu'à l'extérieur, et ce indépendamment des conditions météorologiques. Et comme nous passons, en moyenne, 80% de notre temps à l'intérieur, les conséquences de cette pollution serait, selon une partie de la communauté scientifique, plus lourdes, voire beaucoup plus lourdes que celles des pollutions atmosphériques. 

Fin 2013, l'ADEME a édité une brochure simple et grand public à ce sujet (télécharger).